Une histoire racontée au passager sur l'autoroute

Il était une fois un père et son fils sur l'autoroute du retour vers la maison.

Le fils fait remarquer à son père qu'il y a quelque chose d'étrange avec une voiture voisine.

Le père rapproche la voiture de sa voisine.

Que voit-il... Une personne plate? Une personne très petite?

Il décide de suivre la voiture. Celle-ci sort de l'autoroute, passe par des chemins étranges, entre dans un tunnel.

Ça descend en rond.

Au bout, un parking avec des centaines d'autres voitures identiques, deux places libres seulement, le père gare sa voiture sur la première.

Il y a une petite porte à côté avec marqué "enfer" dessus, ils entrent par là. Derrière, une salle d'attente comme chez un médecin de ville. Ils attendent un petit peu et une porte s'ouvre, en sort le diable: cornes, tout rouge et noir, queue fourchue.

Le diable les fait entrer dans son bureau, leur dit qu'ils sont en train de dormir et ont un choix: soit rester endormis et rester dans cet endroit qu'ils pourront visiter à loisir, soit se réveiller.

Ils se réveillent, sur l'autoroute, il ne faut pas s'assoupir sous peine d'accident!

Is that how the non player characters remember me?

I freely confess that on such occasions the recollection of that long-ago night, the magnificent ballroom, the splendid profusion of the dancers and the breath-arresting presence of the Doctor seemed like a capstan of ache and longing attached by the ropes of memory to my heart, squeezing and tightening and compressing it until it seemed inevitable that it must be burst asunder.

(Oelph in Inversions, Iain M. Banks)